Il scelle un repas d’affaires par un ticket Cash… Et s’achète un bolide !

Si autrefois il était coutume de conclure un repas de travail par l’échange d’un bon cigare, certaines relations professionnelles se veulent aujourd’hui plus informelles et décontractées. Il n’est désormais pas rare de se retrouver dans un bar ou une brasserie, endroit assez convivial pour que  le président de la République lui-même s’y trouve à l’aise pour acheter des tickets à gratter…  Et, cerise sur le gâteau, on peut soi-même faire preuve d’une chance phénoménale en décrochant - en plus d’un contrat - les 500 000€ du ticket Cash à gratter !

Vous prendrez bien un petit Cash ?

La scène se passe en Dordogne, à Saint-Laurent-sur-Manoire très exactement. Dans cette commune du périmètre urbain de Périgueux, l’équipe du « 7 » s’affaire, comme tous les jours, pour servir les nombreux clients au comptoir ou dans la salle.

À une table, deux hommes terminent un copieux déjeuner. Ils sont respectivement entrepreneur et fournisseur, et viennent de parler « affaires ». Visiblement satisfait du résultat de l’échange, le deuxième fait au premier une proposition inattendue : et s’ils accompagnaient leurs cafés respectifs d’un ticket Cash à gratter ?

Une « sacrée bonne idée » dira par la suite le client – qui, n’étant pas un joueur régulier, n’aurait peut-être pas tenté de lui-même sa chance au Cash.

« Les yeux qui vrillent et le cœur qui s’emballe »

La surprise est donc immense : ce ticket Cash négligemment gratté, la « star » incontestée des présentoirs et la référence incontournable d’un très grand nombre de joueurs, avait attendu son entretien professionnel pour déverser sa manne ultime : un demi-million d’euros !

« Quand j’ai vu ça je n’y croyais pas : mes yeux ont commencé à vriller et mon cœur s’est emballé ! – racontera par la suite l’heureux gagnant.

L’histoire ne dit pas comment a réagi son accompagnateur - et instigateur du « grattage » décisif – mais le Périgourdin est en tout cas rentré « immédiatement » chez lui, pour annoncer à son épouse qu’ils étaient maintenant plus riches de 500 000€.

Non pas directement grâce à ses talents de négociateur en affaires, mais bien par la bonne intuition du ticket Cash !

L’indice du prénom

Euphorique, le joueur a réclamé son prix « dans la foulée », l’après-midi même de ce mercredi 3 avril.

Maintenant que ses affaires sont scellées par un si beau coup de chance du ticket Cash, il songe surtout… À se faire plaisir :

« Je vais de ce pas commander la voiture de sport de mes rêves ! – a-t-il ainsi indiqué, ravi.

La nouvelle est donc revenue aussi très vite au gérant du « 7 », qui s’est félicité d’une telle réussite… Tout en commençant, intrigué, à mener sa « petite enquête » !

« En huit ans c’est notre plus gros gain, ça fait plaisir. Par contre des tickets Cash on doit en vendre environ 150 par jour, donc c’est vraiment impossible de savoir qui a gagné. Quoique, j’ai quand même un indice : il paraît que la personne a dit au responsable de la FDJ que c’était ‘Thomas’ qui lui avait vendu le jeu ; c’est donc quelqu’un qui connaît mon prénom… C’est peut-être un habitué ? – conclut Thomas Broux dans un clin d’œil.

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